Escalier
+2
momo
khi_bob
6 participants
Archi27 :: DPT d'Architecture :: Amphi :: Les Cours & Les TD :: 1ere année
Page 1 sur 1
Escalier
Escalier infini
L’escalier
est une construction architecturale constituée d’une suite régulière de
marches, les degrés, permettant d’accéder à un étage, de passer d’un
niveau à un autre en montant et descendant.
Un escalier peut être en pierre, en bois, en métal, en béton, en verre.
Sa
structure est soit intégrée au mur qui le supporte, soit un assemblage
indépendant du reste du gros œuvre et l’assemblage est un ouvrage
autoporteur. L’escalier est d’une complexité de conception très
variable : de la paillasse en béton, sorte de dalle rampante comportant
les marches et posée en dénivelé, de l’empilement simple des marches en
métal qui peuvent donner l’escalier en système à vis à noyau central,
jusqu’à l’escalier tournant de pierre sur voûte sarrasine et l’escalier
balancé de pierre taillée ou de bois avec jour central.
L’escalier
peut être à montée droite ou circulaire ou mixte : droit ou à
l’italienne, hélicoïdal ou à vis ou en colimaçon ou rayonnant, balancé
ou à la française ou à quartiers tournants.
Le professionnel qui
fabrique et pose les escaliers, lorsqu’ils sont en bois est le
charpentier spécialisé plus que le menuisier [1].
Calcul
En 1675, François Blondel
se penche sur la question du calcul de l’escalier dans son Cours
d’architecture enseigné à l’Académie royale d’architecture. Il mesure
le pas (au sens de distance franchie par le pied lors d’une marche
normale sur un plan horizontal) et constate qu’« à chaque fois qu’on
s’élève d’un pouce, la valeur de la partie horizontale se trouve
réduite de deux pouces et que la somme de la hauteur doublée de la
marche et de son giron doit demeurer constante et être de deux pieds ».
Autrement dit : M = 2h + g, où M est le module (ou le pas) et vaut 2 pieds (64,8 cm), h la hauteur de la marche, et g son giron (distance entre deux nez de marche consécutifs mesurée sur la ligne de foulée).
L’idée
directrice est que l’effort fait par la personne qui monte soit
constant, malgré les variations de la hauteur montée effectivement par
rapport au déplacement horizontal selon l’endroit où on se situe dans
l’escalier, montée plus forte dans les coudes, (cette personne est
positionnée avec la main sur la rampe).
De nos jours, les
marches courantes ont 17 cm de hauteur et 28 cm de giron : le pas usuel
est de 63 cm (la place, et par suite l’importance, accordée à
l’escalier est moindre qu’au XVIIe siècle), la pente de ces marches est
de 30° environ. Cette valeur standard est à considérer comme base de
calcul, tout est question de l’effet final donné à l’escalier :
escarpé, ou au contraire "agréable" ou encore à accesssibilité maximum
pour le public.
Cette accessiblité de l’escalier par des
personnes handicapées des membres inférieurs dépend non seulement de
l’angle et du giron mais aussi de la profondeur de la marche et du
débord des nez-de-marche : [2] une hauteur de marche faible induisant
des nez prononcés n’est pas une bonne solution d’accessibilité quel que
soit l’angle.
Angles de pente courants
Différents angles des pentes d’escalier
Terminologie
Cage d’escalier :
Pièce dans laquelle se trouve l’escalier (sans que l’escalier soit
nécessairement adossé à ses parois appelées murs d’échiffre).
Échiffre, mur d’échiffre : mur sur lequel repose l’escalier.
Volée :
Portion d’escalier comprise entre deux plates-formes et qui comprend
les marches. Les marches sont droites (en parallèle) dans la volée
droite, les marches sont rayonnantes dans la volée d’escalier à vis (à
la française), les marches sont biaises ou balancées ou dansantes dans
les quartiers tournants.
Palier : Plate-forme
ménagée à l’étage accédant aux portes palières, le palier principal. La
plate-forme intermédiaire est appelée repos ou palier de repos et ne
donne pas accès à des locaux.
Jour : Espace vertical laissé par les volées, vide central dans la cage d’escalier.
Lisse (ou main-courante) : Elle appartient au garde-corps et elle accompagne l’escalier sur toute sa longueur.
Terminologie
Échappée :
Hauteur de passage, prise verticalement entre le nez de marche et la
partie inférieure du plancher ou de la volée au dessus (mini : 1,90 m ;
généralement : 2,10 m).
Marche : Degré, pièce
horizontale sur laquelle on pose le pied. La marche se définit
dimensionnellement par son emmarchement, son giron et sa hauteur.
Formellement une marche peut être : droite ou carrée (si elle est
rectangulaire) ; balancée ou dansante si les deux extrémités ont des
largeurs différentes ; biaises si sans être balancée elle n’est pas
perpendiculaire au limon. La marche du bas est la marche de départ,
celle du haut est la marche d’arrivée ou marche palière.
Parties de la marche
Marche : Surface horizontale sur laquelle on pose le pied.
Nez de marche : partie de la marche en saillie sur le nu de la
contremarche, la hauteur du garde corps ou de la main-courante est
calculée à partir du nez.
Collet : petit côté d’une marche balancée.
Contremarche : Partie verticale entre deux marches. La contremarche est
sécurisante, cependant elle n’est pas systématique (les échelles de
meunier n’en ont pas, par exemple).
Paillasse : Dans le cas des escaliers en béton, c’est la dalle en pente intégrant les marches d’une volée.
Limon :
Pièce d’appui, poutre qui permet de tenir les marches d’escalier. Cette
pièce se trouve parallèle au mur et suivant l’angle de l’escalier.
Lorsqu’il est en bois, les marches et contremarches sont encastrées
dans sa pleine masse. Pour les escaliers en pierre, le limon n’est pas
une pièce d’appui, elle a une fonction esthétique et est autonome dans
sa structure tout comme un arc-boutant peut l’être.
Crémaillère :
Pièce d’appui, soutenant marches et contremarches, suivant l’angle de
l’escalier, souvent plaquée contre le mur d’appui, et se différenciant
du limon par le fait qu’elle est découpé suivant le dessous de la
marche et l’arrière de la contremarche. [3]
Réglementation dans les lieux publics
Largeur de passage
La réglementation française de sécurité des établissements recevant du public (ERP) définit la notion d’unité de passage (UP) :
1 unité de passage équivaut à une largeur de passage de 0,60 m.
Exceptions :
Une seule unité de passage vaut 0,90 m.
Deux UP valent 1,40 m.
On retrouve la valeur de 0,60 m à partir de 3 UP : 1,80 m et ainsi de suite.
Garde corps
Règles générales pour les particuliers
Garde corps rampant
: Un garde corps rampant est le garde corps qui suit la volée
d’escalier. Celui-ci doit toujours être prévu d’une hauteur de 0,90 m
(900 mm) minimum par rapport à la verticale du nez de marche.
Garde de corps de palier
: Un garde corps de palier est destiné aux parties horizontale d’un
escalier. Celui-ci doit toujours être prévu à une hauteur minimum de 1
m (1 020 mm généralement). Dans le cas d’un garde corps à lisses
horizontales, on retrouve obligatoirement une plinthe, généralement
situé à 50 mm du sol et qui monte jusqu’à 450 mm minimum, suivi du
nombre de lisses souhaité pour obtenir 1020. L’espacement maximum de
celles-ci doit être de 180 mm. Dans le cas d’un carde corps à balustres
verticales, la principale règle est que l’espace maximum entre 2
balustres ne dépasse jamais 110 mm.
Règles générales pour les installations industrielles
Le
cas des installations industrielles réserve des normes un peu
différentes. Dans le cas d’accès aux machines (généralement dans des
sites industriels) une norme européenne prévoit une hauteur minimum de
1,10 m avec une plinthe sur une hauteur de 10 cm au bas du garde-corps.
Le garde-corps doit avoir une résistance en pression horizontale
suffisante pour retenir une personne.
Paliers
Le palier est la plateforme qui reçoit les volées d’escalier montant et
descendant et donne accès à l’étage par les portes palières.
Escaliers droits ou tournants
: Une volée de marches ne peut dépasser 25 marches. Si cela est le cas,
des plate-formes dites repos doivent être inscrites entre deux volées
dans l’escalier. Les volées peuvent être inégales.
Escaliers hélicoïdaux : Il ne doit pas y avoir d’autres plates-formes que celles desservant les étages.
Balancement des escaliers
Lorsqu’un
escalier est tournant, il existe plusieurs méthodes de calcul, dont
celle de la herse. Plutôt que d’avoir un palier il est ainsi possible
de calibrer les marches de façon uniforme quant à la rotation souhaitée
(à 45, 90, 180 ou même 360 degrés)
Source : Wikipédia
______________________________________________________________
Notes
[1]
Menuisier : Étymologiquement spécialiste des objets menus, des meubles,
soit des objets mobiles comme par exemple l’escabeau, le marchepied.
[2]
L’ascension de ceux qui portent une prothèse fémorale -amputation du
genou- lorsque la profondeur pas supérieure à la longueur de leur
chaussure est impossible puisqu’ils ne peuvent pas poser complétement
le talon artificiel. Cela rend difficile et dangereux l’ascension de
ceux qui portent des prothèses tibiales -amputation de la cheville- si
les nez sont non inclus dans la contre-marche verticale ou sont des nez
inclus dans la contre-marche faite avec contre-fruit (non verticale)
cas courant des volées en béton et font risquer l’accrochage et
déséquilibre voire le déchaussage. La descente est dangereuse lorsque
le giron n’est pas de la longueur de la chaussure.
[3] Le lecteur qui cherchera une liste exhaustive des termes se reportera à l’ouvrage collectif sous la direction de Jean-Marie Pérouse de Montclos
L’architecture : méthode et vocabulaire - Première partie, Chapitre II,
Les divisions paragraphe 9 « L’escalier et la rampe d’accès » (p. 36 à
46 et illustrations 69 à 125)
Imaginé par le mathématicien Penrose. Il s’agit d’une illusion d’optique dans la catégorie des objets impossibles.
L’escalier
est une construction architecturale constituée d’une suite régulière de
marches, les degrés, permettant d’accéder à un étage, de passer d’un
niveau à un autre en montant et descendant.
Un escalier peut être en pierre, en bois, en métal, en béton, en verre.
Sa
structure est soit intégrée au mur qui le supporte, soit un assemblage
indépendant du reste du gros œuvre et l’assemblage est un ouvrage
autoporteur. L’escalier est d’une complexité de conception très
variable : de la paillasse en béton, sorte de dalle rampante comportant
les marches et posée en dénivelé, de l’empilement simple des marches en
métal qui peuvent donner l’escalier en système à vis à noyau central,
jusqu’à l’escalier tournant de pierre sur voûte sarrasine et l’escalier
balancé de pierre taillée ou de bois avec jour central.
L’escalier
peut être à montée droite ou circulaire ou mixte : droit ou à
l’italienne, hélicoïdal ou à vis ou en colimaçon ou rayonnant, balancé
ou à la française ou à quartiers tournants.
Le professionnel qui
fabrique et pose les escaliers, lorsqu’ils sont en bois est le
charpentier spécialisé plus que le menuisier [1].
Calcul
En 1675, François Blondel
se penche sur la question du calcul de l’escalier dans son Cours
d’architecture enseigné à l’Académie royale d’architecture. Il mesure
le pas (au sens de distance franchie par le pied lors d’une marche
normale sur un plan horizontal) et constate qu’« à chaque fois qu’on
s’élève d’un pouce, la valeur de la partie horizontale se trouve
réduite de deux pouces et que la somme de la hauteur doublée de la
marche et de son giron doit demeurer constante et être de deux pieds ».
Autrement dit : M = 2h + g, où M est le module (ou le pas) et vaut 2 pieds (64,8 cm), h la hauteur de la marche, et g son giron (distance entre deux nez de marche consécutifs mesurée sur la ligne de foulée).
L’idée
directrice est que l’effort fait par la personne qui monte soit
constant, malgré les variations de la hauteur montée effectivement par
rapport au déplacement horizontal selon l’endroit où on se situe dans
l’escalier, montée plus forte dans les coudes, (cette personne est
positionnée avec la main sur la rampe).
De nos jours, les
marches courantes ont 17 cm de hauteur et 28 cm de giron : le pas usuel
est de 63 cm (la place, et par suite l’importance, accordée à
l’escalier est moindre qu’au XVIIe siècle), la pente de ces marches est
de 30° environ. Cette valeur standard est à considérer comme base de
calcul, tout est question de l’effet final donné à l’escalier :
escarpé, ou au contraire "agréable" ou encore à accesssibilité maximum
pour le public.
Cette accessiblité de l’escalier par des
personnes handicapées des membres inférieurs dépend non seulement de
l’angle et du giron mais aussi de la profondeur de la marche et du
débord des nez-de-marche : [2] une hauteur de marche faible induisant
des nez prononcés n’est pas une bonne solution d’accessibilité quel que
soit l’angle.
Angles de pente courants
L’angle de la pente des escaliers se répartit ainsi :
B : escalier courant (de 24 à 45°), la valeur maximum est de 40° dans les lieux publics et de 45° dans l’habitation. La valeur courante (et donc la plus confortable) se situe aux environs de 30°. C : escalier de machine (de 45 à 75°) D : échelle (de 75 à 90°) |
Différents angles des pentes d’escalier
Terminologie
Cage d’escalier :
Pièce dans laquelle se trouve l’escalier (sans que l’escalier soit
nécessairement adossé à ses parois appelées murs d’échiffre).
Échiffre, mur d’échiffre : mur sur lequel repose l’escalier.
Volée :
Portion d’escalier comprise entre deux plates-formes et qui comprend
les marches. Les marches sont droites (en parallèle) dans la volée
droite, les marches sont rayonnantes dans la volée d’escalier à vis (à
la française), les marches sont biaises ou balancées ou dansantes dans
les quartiers tournants.
Palier : Plate-forme
ménagée à l’étage accédant aux portes palières, le palier principal. La
plate-forme intermédiaire est appelée repos ou palier de repos et ne
donne pas accès à des locaux.
Jour : Espace vertical laissé par les volées, vide central dans la cage d’escalier.
Lisse (ou main-courante) : Elle appartient au garde-corps et elle accompagne l’escalier sur toute sa longueur.
Terminologie
Échappée :
Hauteur de passage, prise verticalement entre le nez de marche et la
partie inférieure du plancher ou de la volée au dessus (mini : 1,90 m ;
généralement : 2,10 m).
Marche : Degré, pièce
horizontale sur laquelle on pose le pied. La marche se définit
dimensionnellement par son emmarchement, son giron et sa hauteur.
Formellement une marche peut être : droite ou carrée (si elle est
rectangulaire) ; balancée ou dansante si les deux extrémités ont des
largeurs différentes ; biaises si sans être balancée elle n’est pas
perpendiculaire au limon. La marche du bas est la marche de départ,
celle du haut est la marche d’arrivée ou marche palière.
Parties de la marche
Marche : Surface horizontale sur laquelle on pose le pied.
Nez de marche : partie de la marche en saillie sur le nu de la
contremarche, la hauteur du garde corps ou de la main-courante est
calculée à partir du nez.
Collet : petit côté d’une marche balancée.
Contremarche : Partie verticale entre deux marches. La contremarche est
sécurisante, cependant elle n’est pas systématique (les échelles de
meunier n’en ont pas, par exemple).
Paillasse : Dans le cas des escaliers en béton, c’est la dalle en pente intégrant les marches d’une volée.
Limon :
Pièce d’appui, poutre qui permet de tenir les marches d’escalier. Cette
pièce se trouve parallèle au mur et suivant l’angle de l’escalier.
Lorsqu’il est en bois, les marches et contremarches sont encastrées
dans sa pleine masse. Pour les escaliers en pierre, le limon n’est pas
une pièce d’appui, elle a une fonction esthétique et est autonome dans
sa structure tout comme un arc-boutant peut l’être.
Crémaillère :
Pièce d’appui, soutenant marches et contremarches, suivant l’angle de
l’escalier, souvent plaquée contre le mur d’appui, et se différenciant
du limon par le fait qu’elle est découpé suivant le dessous de la
marche et l’arrière de la contremarche. [3]
Réglementation dans les lieux publics
Largeur de passage
La réglementation française de sécurité des établissements recevant du public (ERP) définit la notion d’unité de passage (UP) :
1 unité de passage équivaut à une largeur de passage de 0,60 m.
Exceptions :
Une seule unité de passage vaut 0,90 m.
Deux UP valent 1,40 m.
On retrouve la valeur de 0,60 m à partir de 3 UP : 1,80 m et ainsi de suite.
Garde corps
Règles générales pour les particuliers
Garde corps rampant
: Un garde corps rampant est le garde corps qui suit la volée
d’escalier. Celui-ci doit toujours être prévu d’une hauteur de 0,90 m
(900 mm) minimum par rapport à la verticale du nez de marche.
Garde de corps de palier
: Un garde corps de palier est destiné aux parties horizontale d’un
escalier. Celui-ci doit toujours être prévu à une hauteur minimum de 1
m (1 020 mm généralement). Dans le cas d’un garde corps à lisses
horizontales, on retrouve obligatoirement une plinthe, généralement
situé à 50 mm du sol et qui monte jusqu’à 450 mm minimum, suivi du
nombre de lisses souhaité pour obtenir 1020. L’espacement maximum de
celles-ci doit être de 180 mm. Dans le cas d’un carde corps à balustres
verticales, la principale règle est que l’espace maximum entre 2
balustres ne dépasse jamais 110 mm.
Règles générales pour les installations industrielles
Le
cas des installations industrielles réserve des normes un peu
différentes. Dans le cas d’accès aux machines (généralement dans des
sites industriels) une norme européenne prévoit une hauteur minimum de
1,10 m avec une plinthe sur une hauteur de 10 cm au bas du garde-corps.
Le garde-corps doit avoir une résistance en pression horizontale
suffisante pour retenir une personne.
Paliers
Le palier est la plateforme qui reçoit les volées d’escalier montant et
descendant et donne accès à l’étage par les portes palières.
Escaliers droits ou tournants
: Une volée de marches ne peut dépasser 25 marches. Si cela est le cas,
des plate-formes dites repos doivent être inscrites entre deux volées
dans l’escalier. Les volées peuvent être inégales.
Escaliers hélicoïdaux : Il ne doit pas y avoir d’autres plates-formes que celles desservant les étages.
Balancement des escaliers
Lorsqu’un
escalier est tournant, il existe plusieurs méthodes de calcul, dont
celle de la herse. Plutôt que d’avoir un palier il est ainsi possible
de calibrer les marches de façon uniforme quant à la rotation souhaitée
(à 45, 90, 180 ou même 360 degrés)
Source : Wikipédia
______________________________________________________________
Notes
[1]
Menuisier : Étymologiquement spécialiste des objets menus, des meubles,
soit des objets mobiles comme par exemple l’escabeau, le marchepied.
[2]
L’ascension de ceux qui portent une prothèse fémorale -amputation du
genou- lorsque la profondeur pas supérieure à la longueur de leur
chaussure est impossible puisqu’ils ne peuvent pas poser complétement
le talon artificiel. Cela rend difficile et dangereux l’ascension de
ceux qui portent des prothèses tibiales -amputation de la cheville- si
les nez sont non inclus dans la contre-marche verticale ou sont des nez
inclus dans la contre-marche faite avec contre-fruit (non verticale)
cas courant des volées en béton et font risquer l’accrochage et
déséquilibre voire le déchaussage. La descente est dangereuse lorsque
le giron n’est pas de la longueur de la chaussure.
[3] Le lecteur qui cherchera une liste exhaustive des termes se reportera à l’ouvrage collectif sous la direction de Jean-Marie Pérouse de Montclos
L’architecture : méthode et vocabulaire - Première partie, Chapitre II,
Les divisions paragraphe 9 « L’escalier et la rampe d’accès » (p. 36 à
46 et illustrations 69 à 125)
khi_bob- Ami (e) de Forum
-
Points : 5833
Nombre de messages : 141
Age : 35
Localisation : ché moi
Emploi/loisirs : Etudiant en architecture
Humeur : Rigolo
Date d'inscription : 20/10/2008
Re: Escalier
merci bq
momo- Interne
-
Points : 5620
Nombre de messages : 62
Age : 44
Localisation : algeria
Emploi/loisirs : 2332
Date d'inscription : 11/11/2008
Re: Escalier
2r1
khi_bob- Ami (e) de Forum
-
Points : 5833
Nombre de messages : 141
Age : 35
Localisation : ché moi
Emploi/loisirs : Etudiant en architecture
Humeur : Rigolo
Date d'inscription : 20/10/2008
Re: Escalier
lah ybaréék >> mercii
mohicho27- meilleur
-
Points : 10373
Nombre de messages : 5065
Age : 35
Localisation : Mostaganem
Emploi/loisirs : etudiant en architecture > Travaux
Humeur : RigOlO (°__^)
Date d'inscription : 08/10/2008
Re: Escalier
و الجهل ظلام
khi_bob- Ami (e) de Forum
-
Points : 5833
Nombre de messages : 141
Age : 35
Localisation : ché moi
Emploi/loisirs : Etudiant en architecture
Humeur : Rigolo
Date d'inscription : 20/10/2008
Re: Escalier
merci
samiX- Nouveau Membre
-
Points : 5274
Nombre de messages : 9
Age : 35
Localisation : lol
Emploi/loisirs : etudiant
Humeur : =)
Date d'inscription : 01/11/2009
Re: Escalier
thanx a lot
architecte13- Nouveau Membre
-
Points : 4937
Nombre de messages : 14
Age : 31
Localisation : 27
Emploi/loisirs : etudiante
Date d'inscription : 07/10/2010
Re: Escalier
stp je suis besoin un plan et coupe d'escalier balancé dans un parc
maya lili- Nouveau Membre
-
Points : 4372
Nombre de messages : 1
Age : 33
Localisation : projet
Emploi/loisirs : projet
Date d'inscription : 09/04/2012
Archi27 :: DPT d'Architecture :: Amphi :: Les Cours & Les TD :: 1ere année
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|