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Jacques-François BLONDEL (1705-1774)

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Message par big boss Lun 20 Oct - 7:23

Jacques-François BLONDEL


Jacques-François BLONDEL (1705-1774) 5911


Jacques-François Blondel appartient à une famille d’architectes français, mais il n’a aucune parenté avec l’architecte du XVIIe siècle Nicolas-François Blondel. Plus connu pour ses écrits que pour ses constructions, il fut l’un des grands théoriciens de l’architecture classique. La fermeté de ses doctrines, les traditions qui s’y perpétuent, comme les résistances qu’elles ont rencontrées, situent Blondel au centre d’une évolution qui s’étend sur plus d’un siècle.

1. Raison et discrétion en architecture

Au dire de l’architecte Franque, son ami, il fut l’élève de son oncle Jean-François. Selon l’amateur Antoine-Joseph Dezallier d’Argenville, il reçut aussi les leçons de l’ornemaniste Oppenord, mais les créations de ce maître n’ont pas trouvé grâce aux yeux de son élève, qui se borne à reconnaître en lui l’un des grands dessinateurs de son temps. Pourtant, le talent honorable de Jean-François Blondel et le génie d’Oppenord caractérisent bien le milieu qui entoura la formation et les premiers travaux de Jacques-François. L’esprit classique de Jules Hardouin-Mansart régnait encore sur l’architecture, mais la vague du goût rocaille se répandait dans l’ornement. À ses débuts, Blondel manifesta sa complaisance pour ce genre décoratif qu’il répudia plus tard, quand il rappelle son siècle à la sobriété et à la raison. Il gravait avec esprit et exécuta des planches pour la quatrième édition du traité d’architecture de d’Aviler, publiée en 1737. L’éditeur Mariette avait souhaité mettre l’ouvrage au goût du jour en y insérant des compositions demandées aux décorateurs du moment. Blondel eut ainsi l’occasion d’interpréter des esquisses de Nicolas Pineau, l’un des maîtres de la rocaille et le collaborateur de son oncle à l’hôtel de Rouillé. La même année 1737 paraît son premier ouvrage, Traité d’architecture dans le goût moderne, ou De la décoration des maisons de plaisance. Par maisons de plaisance, il faut entendre les châteaux, dont Blondel donne plusieurs projets. Les principes énoncés par cet architecte de trente-deux ans ne sont pas tous originaux, mais ils expriment l’idéal domestique d’une époque où le souci de l’intimité commence à l’emporter sur celui de l’apparat dans les maisons nobles et transformera bientôt l’architecture bourgeoise. Ennemi du faste indiscret, Blondel préfère souvent un groupe de sculptures à un fronton, un accès latéral à une allée tracée dans l’axe de la façade principale, un talus semé de gazon à un mur de soutènement. Dans les jardins, vases, fontaines, termes, niches de treillage seront placés avec économie et discernement. Une partie de ces agréments se dissimule sous le couvert des charmilles et dans le secret des « retraites », pour exciter la curiosité et ménager des surprises. La distribution intérieure réservera l’exposition la plus agréable aux pièces de compagnie et rendra légère la présence des serviteurs, tout en facilitant leur travail. Les miroirs, distribués avec parcimonie dans les antichambres, seront nombreux dans les pièces de compagnie où ils réfléchiront la perspective des jardins et, le soir, l’éclat des girandoles. Le cadre chantourné des lambris épousera la courbe des lits et des canapés. Malgré ces concessions au goût du jour, Blondel insiste en « honnête homme », comme son contemporain Boffrand, sur le principe de « convenance » qui s’impose à l’architecture. L’apparence et les dispositions du logis répondront à la fortune, à la livrée et au rang de l’usager. Les bâtiments d’exploitation seront plus bas et moins décorés que le logis seigneurial. Le constructeur emploiera de préférence les matériaux procurés par le terroir. À l’époque où le rococo triomphe en Europe, Blondel propose, dans un ouvrage qui est destiné à la noblesse et aux financiers, une doctrine respectueuse des bienséances sociales et fondée sur la raison.

S’il est établi comme architecte rue de Verneuil à Paris, Blondel n’a encore que peu bâti : une orangerie aux environs de Florence, les terrasses d’un château « sur la route de Bretagne » et, dit-on, l’hôtel Petit de Marivat à Besançon.

2. Un professeur

Le Traité d’architecture connaît le succès, mais l’auteur ne sollicite pas pour autant la clientèle de ses riches lecteurs, il s’oriente vers un professorat qui préservera mieux son indépendance. Malgré les réticences de l’Académie royale d’architecture, jalouse de son propre enseignement, il ouvre en 1743, rue de la Harpe, une « École des arts ». Le cycle des études y est très complet. Blondel professe l’architecture et corrige le dessin « tous les jours, de huit heures du matin à huit heures du soir ». Des professeurs adjoints enseignent les mathématiques, la perspective, la coupe des pierres, la théorie des fortifications, le modelage, les proportions du corps humain, l’histoire et l’iconologie. Des leçons particulières offrent les compléments nécessaires à l’éducation d’un homme bien né. Fréquentée par des étudiants étrangers, l’institution de Blondel fut l’une des plus célèbres écoles d’art suscitées par le désir d’instruction qui régnait au XVIIIe siècle. Malheureusement, la prodigalité et la mauvaise gestion de l’artiste en compromirent la prospérité. Elle se releva péniblement d’une faillite, peut-être fictive, déclarée en 1754 et végéta pendant vingt ans. Entre-temps, Blondel est entré à l’Académie royale où il assurera jusqu’à sa mort l’enseignement officiel de l’architecture. Il élargit les programmes et, par de nouveaux moyens, suscita l’émulation. Ses cours, auxquels assistèrent l’Écossais Chambers, le Lorrain Richard Mique, le Hollandais Pieter de Swart, l’Allemand Christian T. Weinlig, furent aussi suivis par des amateurs. Blondel visait à former non seulement le talent des artistes, mais aussi le goût des hommes de qualité qui devaient être leurs protecteurs. Marigny, bien qu’il estimât moins le caractère de Blondel que son savoir, soutint les initiatives du professeur, qui donna une impulsion brillante et durable à l’école académique. Au cours de son long professorat, il avait peu recherché les commandes architecturales. Cependant, après la campagne de Fontenoy, il enveloppa d’un décor triomphal et délibérément baroque la porte Saint-Martin (dessins de son élève P. de Swart au musée Carnavalet). Il dressa le décor d’une scène tragique au collège Louis le Grand, transforma l’hôtel de Choiseul, rue de Richelieu, et donna des dessins pour l’archevêché de Cambrai.

Quand Blondel fit imprimer sa leçon d’ouverture de 1747, la rocaille commençait à décliner. Blondel appartient à ces esprits qui se tournent avec nostalgie vers le règne de Louis XIV et l’idéal de beauté simple qui était alors celui de la France. Vers 1730, L’Architecture française, publication de Jean Mariette, avait réuni les chefs-d’œuvre de Perrault, des Mansart et de leurs plus fidèles disciples. Blondel en entreprend une seconde édition augmentée de planches nouvelles et d’un commentaire critique. En un temps où la compétition économique et intellectuelle est vive avec l’Angleterre, le titre Architecture française est significatif et paraît répondre au Vitruvius britannicus de Campbell. Les jugements portés par Blondel révèlent ses préférences. Parmi les architectes du passé, Philibert de l’Orme et Salomon de Brosse méritent de grands égards ; Louis Le Vau pèche par sa lourdeur ; François Mansart et son neveu Jules Hardouin, « ce grand homme », ont approché de la perfection. Chaque été, Blondel conduisait ses élèves au château de Maisons, édifice qu’il tenait pour exemplaire. François Mansart y avait préféré les ordres superposés à l’ordre colossal, tracé des profils d’une distinction sans égale, subordonné les ailes à un corps central prédominant par son volume et sa hauteur, fondu tous les éléments dans une incomparable harmonie. Cet idéal s’était accompli en Jules Hardouin-Mansart et ses disciples, auteurs des hôtels parisiens présentés dans les volumes de L’Architecture française. Blondel reste ici fidèle aux critères adoptés dans le Traité de 1737. Il aime que le prestige aristocratique s’exprime aussi dans l’habitation urbaine, mais avec cette aménité que recommandait déjà Leo-Battista Alberti, vers le milieu du XVe siècle. La cour de l’hôtel doit être interdite aux regards indiscrets des passants. Les ailes subalternes des communs s’effaceront devant le grand corps de logis, qui seul sera revêtu des ordres, habit de cour de l’architecture française. Passé le vestibule, des antichambres aux appartements de parade, le décor ira s’enrichissant. Quant le maître aura fait imprimer à la façade et aux grands salons les marques de son rang, les exigences du confort et de l’intimité reprendront leurs droits dans de petits entresols, refuge des laques de Chine, des tableaux flamands et des magots de porcelaine ; mais de telles concessions au goût du siècle seront souvent incompatibles avec les principes de la bonne architecture.

3. Affrontement des théories

Autour de Blondel, dans l’Europe des Lumières, une réflexion critique s’instaurait sur l’essence de l’architecture, la validité des structures traditionnelles, l’emploi raisonné des matériaux. L’esprit philosophique essayait d’abstraire les lois de la composition, dans l’espoir de fonder la beauté sur la raison. Dès le début du siècle, l’abbé de Cordemoy avait osé mettre en cause quelques principes admis de son temps. Ses critiques avaient trouvé leur écho chez l’ingénieur Amédée Frézier, le carme vénitien Lodoli, le jésuite Marc-Antoine Laugier. La valeur universelle accordée par l’âge humaniste aux ordres gréco-romains pouvait être contestée. Ce langage architectural ignorait la variété des climats et des matériaux, l’évolution des sociétés ; consacré par le génie des maîtres, il pouvait être conservé, mais exigeait une justification philosophique. Laugier l’emprunte à Vitruve, qui considère le temple comme la transposition de la hutte primitive et les colonnes comme l’équivalent des troncs employés à la bâtir. Les conceptions animistes de Laugier sauvaient ainsi l’ordre antique en désignant ses modèles dans la nature ; mais elles impliquaient une réforme de la syntaxe architecturale. Comme des troncs enracinés, les colonnes devaient surgir du sol, embrasser les étages et supporter réellement, tel un linteau, l’entablement général de l’édifice. Cette proposition révolutionnaire condamnait les soubassements, les colonnes engagées, les pilastres et la superposition des ordres. Sur ce point, Laugier heurtait fortement Blondel, qui enseignait à orner l’édifice à l’échelle de chaque étage et regardait l’ordre colossal, surtout dans un hôtel ou un château, comme une licence et un signe d’ostentation. Laugier n’admettait les frontons que s’ils répondaient aux deux versants d’un toit. La pensée du jésuite rejoignait ici celle du carme Lodoli, pour qui l’apparence d’un édifice devait exprimer sa structure et sa fonction. Leur contemporain Diderot a défini mieux que personne ce principe, celui du fonctionnalisme architectural : « Un morceau d’architecture est beau lorsqu’il y a de la solidité et qu’on le voit, qu’il a la convenance requise avec sa destination et qu’elle se remarque » (à Sophie Voland, 2 sept. 1762). Blondel, qui en appelait à « la logique de l’architecture », s’associait à cette pensée, mais se sentait impuissant à concilier les formes gréco-romaines et la commodité exigée de son temps. Ses conceptions étaient aussi dangereusement menacées par une crise de la composition architecturale qui s’était ouverte en Angleterre et se répandit en France après le milieu du siècle. L’idéal de François Mansart, celui de la hiérarchie graduellement ménagée entre la dominante centrale et les corps latéraux, allait faire place à l’opposition contrastée de volumes tels que le cube, le cylindre de la demi-sphère, à un dépouillement des formes architecturales où l’on a pu voir l’anticipation de notre époque. Blondel, comme l’amateur Algarotti, assistait, en témoin lucide mais déchiré, à la dissolution d’un système issu de la Renaissance et que le règne de Louis XIV avait conduit à sa perfection. Bien que formés à son école, des artistes comme Ledoux, Louis, Cherpitel et de Wailly étaient portés par les courants de leur siècle et partageaient les sentiments des novateurs. Dans un curieux roman publié après sa mort, L’Homme du monde éclairé par les arts, Blondel, débordé par ses élèves, nous a laissé le témoignage de son amertume. Un gentilhomme y commente à une dame de ses amies les productions architecturales de l’ancienne et de la nouvelle école. À propos de l’hôtel d’Uzès, l’un des premiers édifices de Ledoux (1767), ce porte-parole de Blondel laisse échapper son dépit : « J’ai appris de bonne heure... que le goût... n’admettoit que rarement les contrastes dans une même ordonnance. D’après cela, vous serez frappée de la dissonance qu’offre la décoration de la nouvelle façade, du côté de la cour de cet hôtel. Vous y verrez un ordre ridiculement colossal... »

Parus en 1771 et 1772, les quatre premiers volumes du Cours d’architecture civile sont présentés comme la rédaction des notes prises par un auditeur de Blondel, artifice qui dispensait le professeur de solliciter l’imprimatur de l’Académie. L’ouvrage, illustré de planches en volumes séparés, fut continué après lui par l’architecte et théoricien Pierre Patte. Blondel s’étend sur la morphologie des ordres, les types d’édifices, la décoration. Il adhère à la doctrine animiste sur les origines de l’architecture, mais sans en tirer les mêmes conséquences que Laugier. Il n’accorde aucune valeur aux proportions harmoniques, dont son illustre homonyme, Nicolas-François Blondel, avait soutenu la nécessité contre l’empirisme de Claude Perrault. L’ouvrage abonde en jugements sur les exemples du passé et les réalisations des contemporains. Dans quelques digressions point le ton sentimental de la génération de Rousseau : ainsi lorsque Blondel décrit les aménagements conçus par lui au château de La Grange pour une dame de santé fragile, dont l’époux n’avait rien épargné pour lui plaire. Comme Germain Boffrand, Blondel insiste sur le caractère dont l’architecte doit marquer l’extérieur d’un édifice pour en annoncer la destination. Une architecture « aimable » convient à la folie d’un fermier général. Le pavillon de l’Aurore à Sceaux et la maison de Sylvie à Chantilly sont les exemples d’une architecture « champêtre ». L’architecture « terrible » des prisons doit inspirer le respect des lois et la crainte des châtiments. Les architectes de la fin du siècle exalteront cette fonction morale de leur art ; ils jetteront les bases d’une architecture édifiante, capable d’informer les mœurs et d’élever les âmes à de grands sentiments. Ledoux, Boullée, Cellerier auraient ainsi pu offrir à la vie collective et aux manifestations civiques le cadre d’un urbanisme grandiose qui eût impressionné les foules par son symbolisme. Mais la Révolution a le plus souvent manqué ses chances d’en tirer parti.
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Message par big boss Lun 20 Oct - 7:24

4. Transformation de Metz

La réputation acquise par Jacques-François Blondel lui permettait désormais de citer ses propres constructions à l’appui de ses principes. Sur la recommandation de Choiseul, le maréchal d’Estrées lui avait confié la transformation de la ville de Metz, menée à bien de 1764 à 1771, grâce au concours d’un ingénieur messin, Gardeur-Lebrun. Blondel sut tirer parti du faible espace enserré dans les murs de cette place forte. Il mit en valeur la cathédrale, en refit le portail, ouvrit dans son axe la rue d’Estrées. À son flanc nord fut aménagée la place Saint-Étienne. Du côté sud, l’hôtel de ville, le corps de garde et les arcades du parlement bordèrent la place d’Armes. Blondel ne put faire bâtir ni l’évêché ni le chapitre Saint-Louis, où Mme de Choiseul-Stainville aurait réuni sous son autorité deux communautés lorraines tombées en décadence. La mâle sévérité imprimée par Blondel aux édifices de la place d’Armes convenait à une ville de guerre « où tout monument doit se ressentir dans son ordonnance d’un certain genre de fermeté qu’impose l’art militaire ». Il ménagea des liaisons et concilia ce caractère général avec le caractère particulier convenant à chaque édifice, sacré, administratif ou privé. Un fronton courbe accorda le nouveau portail de la cathédrale à son voisinage gothique. Les colonnes s’ornèrent de joncs comme celles de Mansart à Maisons. Le style dorique enrichi de chapiteaux évoqua celui dont Lescot et Goujon avaient donné le modèle au Louvre dans la salle des Cariatides. Les aménagements de Blondel à Metz furent en partie détruits ou défigurés entre 1871 et 1918. Seuls ont été respectés l’hôtel de ville et le corps de garde. Blondel décora aussi le chœur de la cathédrale de Châlons. Appelé à Strasbourg, Blondel y donna des plans généraux pour l’embellissement de la ville et dessina la grille du chœur de la cathédrale.
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Message par Hanan27 Sam 25 Oct - 13:25

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Message par big boss Lun 27 Oct - 8:57

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Message par mohicho27 Dim 15 Mar - 17:03

merci
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